Il s'prend pour Rambo... En VHS
À l'époque de la VHS les trois premiers Rambo sont de tels succès que les producteurs et réalisateurs de séries B fauchés ou voir même de séries Z se disent que l'exploitation du filon peut être plus que rentable. Alors les scénarios des 3 films avec Stallone seront dupliqués jusqu'à plus soif et même les affiches vont devenir une source d'inspiration... Enfin c'est surtout un moyen pour faire croire aux plus naïfs que la VHS louée est bien un des films de la célèbre trilogie. Car il faut bien dire que les étagères de nos vidéoclubs, au rayon "films de guerre" étaient garnis de ces jaquettes qui cachent en réalité le plus souvent une production Italienne sans budget et sans originalité. La Ramboploitation dans toute sa splendeur!
Le plus connu et le plus respectable de tous.
L'affiche de TONNERRE est bien plus qu'une simple déclinaison de celle du premier RAMBO.
No comment !
RUSH est la parfaite illustration du visuel qui vend un "sous RAMBO" et qui n'en est même pas un...
Non seulement une déclinaison très faiblarde de RAMBO 2 mais en plus avec un sosie rachitique de STALLONE.
C'est mal imité sur les jaquettes et c'est aussi très mauvais une fois dans le magnétoscope !
Du "tout venant" à sauce Italienne.
Quand DAVID CARRADINE se prend pour STALLONE et se retrouve être tout au plus un sous-CHUCK NORRIS.
Pas vu mais selon le résumé de la jaquette RANDO est le héros... tout est dit.
Jaquette sans grand rapport avec le film.
Jamais vu mais je mets mon billet sur le fait que le film n'est qu'une énième déclinaison Italienne.
Un florilège "haut en couleurs".
Un visuel à la limite de l'amateurisme.
Un des nombreux ersatz disponibles chez DELTA VIDÉO à l'époque.
Bonjour Vhsboy , oui tu as entièrement raison lors de l'arrivée de la vhs , ce fut une révolution et des films à succes tel rambo mad max les dents de la mer les bruce lee etc furent cloner jusqu'à plus soif . .. Toute une époque. Merci pour nous faire revivre tout cela.
RépondreSupprimerMerci à toi pour ce commentaire, effectivement l'exploitation des succès cinématographique a connu son heure de gloire grâce au marché de la VHS. Tout était bon pour surfer sur un filon rentable, bon le résultat à l'écran, ça, c'était autre chose!
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