Un blog sur notre nostalgie de la VHS serait incomplet sans revenir sur le célèbre duo Bud Spencer & Terence Hill. Leurs films étaient quasiment indissociables de nos chères vidéoclubs, il n'était pas rare d'avoir un de leurs films dans nos K7 louées pour un week-end en famille.
Si en vérité il y a 16 films avec le deux comparses, enfant nous avions souvent l'impression qu'il y en avait beaucoup plus. Il existe plusieurs raisons à celà... Les films ressortiront parfois sous des titres différents et des visuels retravaillés afin de faire croire à nouveau film ou aussi vendre des films où en réalité le duo n'en est pas encore un, tout juste un film où les deux acteurs sont au casting.
Et enfin les faux films estampillés "Bud Spencer & Terence Hill" où un duo d'acteurs plus ou moins ressemblant arnaquent le cinéfile peu regardant.
La véritable filmographie (16 titres et dans l'ordre chronologique de tournages) où les deux acteurs sont au minimum présents tout les deux au casting.
Dès le départ on constate sur l'affiche cinéma l'accroche "à nouveau réunis" ce qui est impossible car c'est le tout premier film où le deux acteurs sont dans un même film. C'est simplement que le film fut exploité après les deux Trinita. Ensuite il connaîtra pas moins de trois retitrages.
Un autre exemple parfait pour illustrer les "petites magouilles" des distributeurs pour mieux vendre d'anciens films "post-Trinita" où le duo n'est pas forcément l'intérêt premier de l'œuvre.
Une trilogie où les deux acteurs se retrouvent au millieu de castings parfois bien garnis Eli Wallach, Woody Strode, Lionel Stander,... Mais après le succès des deux Trinita les distributeurs vont faire dans la tromperie de marchandises!
Cette fois c'est le "top départ" le duo est née et une première "arnaque" arrive très vite avec Maintenant on l'appelle Plata qui titré ainsi semble être un 3eme volet au deux premiers Trinita mais en réalité, non!
Le succès s'estompe au début des années 80 (il faut dire que les films s'enchaînent et se ressemblent très souvent), le duo tente de reprendre le canevas de l'un de leurs plus grands succès Deux Super Flics mais rien n'y fait. Bien des années après ils réformeront leur duo avec un film "hommage".
Le fameux "faux-duo" avec notamment l'inoubliable Paul Smith de Midnight Express, les films n'arrivent même pas à la cheville du l'œuvre la plus faible de Bid Spencer & Terence Hill!
Mise à jour au 22/11 Merci, merci infiniment pour vos messages d'encouragements et de soutiens, ici et sur BLOCKBUSTER. Je mesure combien mon blog est apprécié et que nous partageons la même nostalgie. Merci tout particulièrement à Jackie de BLOCKBUSTER qui sait à quel point c'est douloureux de voir son blog visé par la malveillance de certains. Surtout avec l'investissement que cela demande. C'est pourquoi je vais suivre son conseil et écouter vos encouragements et reprendre la barre. Je ne vais quand même pas abdiqué devant des "bas du front" qui vivent dans la frustration et le besoin de dire aux autres ce qu'ils peuvent faire ou pas. Le blog reprendra vie dès la semaine prochaine. Merci encore à vous, VHS forever! VHSboy ______________________________ C'est avec tristesse et colère que j'écris ces quelques lignes. Mon blog est sous le coup d'un signalement (d'un de ses lecteurs, habitué, occasionnels ou de passage je ne sais pas). E...
Producteurs et réalisateurs dans le cinéma indépendant, Richard Pepin et Joseph Merhi fondent en 1989 la PM Entertainment . Cette société de production n'a qu'un objectif: surfer sur le succès de la VHS à travers le monde et s'appuyer sur le succès grandissant du Direct to Vidéo (films produits dès le départ uniquement pour le marché de la VHS) qui inondera bientôt les vidéoclubs. Après un démarrage en douceur, avec des titres qui malheureusement ne seront pas toujours distribués en dehors des States, la firme se spécialisera très vite dans le film d'action et ne restera pas indifférente au succès fulgurant de Jean Claude Van Damme . Ainsi la PM sera dans les starting-blocks pour fournir aux clients des Vidéoclubs des substituts à la " star Belge" et des films axés eux-aussi sur le kickboxing. A peine auréoler du succès des trois volets de la franchise Bloodfist que Don "the dragon" Wilson se...
Ce film est tout simplement pour moi la quintessence même du chef-d’œuvre cinématographique. Le grand Clint Eastwood réussi un double tour de force, le premier est de remettre au goût du jour le western qui à cette époque n'est plus à la mode (ou uniquement pour de trop rares exceptions) et enfin est surtout faire tenir un scenario tout ce qu'il y a de plus linéaire (limite il pourrait faire l'objet d'un téléfilm lambda ou d'un direct'video) sur plus de 2 heures. Rédemption, absolution et même résurrection, autant de thèmes abordés par les trois personnages principaux ( Eastwood donne des rôles en or à Freeman et Hackman ). Au même titre que Million Dollars Baby et Gran Torino (trois films, trois bombes cinématographiques signées Eastwood ), la musique est tellement enivrante que lors de certaines séquences on pourrait se dire que le grand Clint c'est dit «j’enlève les dialogues là... pas bes...
Une nouvelle fois Martin Scorsese nous livre une œuvre majeure du septième art. Remake du film éponyme de 1967 cette nouvelle version vous plonge dans un univers malsain, étouffant et inhabituel pour une production Hollywoodienne de cet acabit. La prestation magistrale de Robert de Niro n'eclipse heureusement pas un casting impressionnant: Nick Nolte , Jessica Lange , Juliette Lewis , Grégory Peck et Robert Mitchum (qui étaient tous deux déjà présents dans la version originale). Le réalisateur parvient à transmettre le sentiment de danger et de peur au spectateur, on ressent jusqu'à l'atmosphère étouffante de la région des marées de la Caroline du Nord. A sa sortie le film, qui sera tout de même un succès commercial, déclenchera une certaine controverse sur la violence quasi permanente et certaines scènes où la sexualité est abordée sous un prisme malsain. De plus certains choix esthétiques du réalisateu...
Delta Vidéo fut l'un des éditeurs les plus prolifiques de l'époque où le vidéo club était roi. Car cet éditeur c'était spécialisé très vite dans les séries B, dans les direct'video (films produits dès le départ pour ne pas connaître le grand écran et être calibré directement pour le marché de la VHS) et dans les séries Z aussi quelques fois, le catalogue était donc très fourni. LIEN BLOCKBUSTER L'éditeur fut celui qui révéla une grande partie de la filmographie de Jackie Chan et il fut également distributeur, très souvent, des productions Cannon films . Delta Vidéo ce fut surtout à une époque, la mienne, l'écurie de Van Damme à ses débuts. Ce temps où sur une étagère il y a avait 5 à 6 exemplaires du dernier film de la star pour pouvoir satisfaire la demande le week-end car tout le monde voulait voir le dernier Van Damme . Enfin, jusqu'à l'avènement du DVD l'éditeur gardera dans son catalogue la trilogie des Rambo . Delta Vidéo...
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